Bérengère Leydier
Centre de santé le 1Bis

1 bis chemin de la Rollande

84140 Avignon Agroparc

 

Efficacité relationnelle Approche Gordon
Accompagnement parental - Résolutions de conflits - Révélation de soi

« Elle m’a saoulé la prof de physique ! »

11/09/2021

« Elle m’a saoulé la prof de physique ! »

La rentrée a eu lieu il y a quelques jours à peine, et déjà, les complaintes se suivent les unes derrière les autres.

Quand votre enfant vous dit :  « J’aime pas mes copains » ou « La voix du prof d’Histoire Géo est tellement énervante, et il a de ces manières ! »  : quelle serait votre réponse automatique et pensez-vous qu’elle serait appropriée pour que le ton de la discussion reste cordial et que votre enfant se sente compris ? 
Que ressentez-vous face à ces jugements hâtifs, ces premiers ressentis négatifs ? 

Et quand il vous dit : «  J’ai trop aimé Mr C., il a l’air trop cool ! » ; « Je me suis déjà fait des amis, j’adore ma classe » : êtes-vous plutôt du genre à vous réjouir pour lui·elle ou à lui dire : «  Pourvu que ça dure! », ou «  Tu dis toujours ça au début et après les histoires arrivent », ou encore «  Et bien, tiens-toi bien en classe et travaille bien et il n’y aura pas de raison que ça change ». Est-ce nos désillusions d’adulte qui parlent ici ? Rester dans un schéma négatif et prédictif nous conforte t-il plus que de laisser ouvert tous les champs des possibles et de prendre les faits tels qu’ils sont exprimés là, dans ce présent ?

 

La plupart d’entre nous n’avons pas été élevés en étant écoutés sans jugement. Il est donc très difficile de le faire spontanément avec nos propres enfants. Et nos automatismes brisent alors souvent leur élan et leur confiance en nous et en eux-mêmes. Cela les met en colère ou les rend tristes, interrogatifs, ou va renforcer leur inquiétude. 

 

Nous avons aussi pour la plupart, oublié ce que nous ressentions face aux réponses de nos parents puisque eux-mêmes, croyant bien faire, faisaient en sorte que nous y attachions peu d’importance : « Oh là là, ça va passer, tu vas voir, tu dis toujours ça au début, et puis après tu te fais des amis ; et oui on ne peut pas aimer tous les profs mais l’important c’est ce qu’il va t’apprendre, pas ses manières, contente-toi d’écouter ; ne reste pas sur cette première impression, qu’est-ce que tu peux être négatif ; comment tu vas pouvoir te faire des amis si tu penses que tout le monde est nul ? » 

Si on nous a parlé comme ça, en niant, en minimisant ou en critiquant nos propos, il est naturel de ne pas savoir reconnaître les émotions de nos enfants, ni de les accueillir juste pour ce qu’elles sont. En revanche, nous avons peut-être bien imprimé les réponses de nos parents et avons tendance à les ressortir à nos enfants. C’est pour cela que nous ne sommes pas en mesure de les écouter sans nous sentir mal à l’aise et, admettons-le, parfois, sans être rabat-joie.

La bonne nouvelle c’est que cela s’apprend. Grâce à un outil puissant : l’écoute active.

 

L’écoute active, en premier lieu, va nous permettre d’accueillir les paroles sans jugement (bon, ça demande un peu de boulot, je ne vous le cache pas, mais avec de l’entraînement je vous assure qu’on y arrive). Après tout, nous n’étions pas avec lui·elle dans la classe, et il·elle a le droit d’avoir des avis. C’est humain, nous faisons tous plus ou moins ça quand nous rencontrons quelqu’un ou que nous arrivons dans un nouveau groupe. Notre enfant devrait pouvoir nous partager cela sans crainte d’être jugé·e. Car derrière ces mots, il y a peut-être une émotion cachée…

 

Par exemple, mon fils vient de changer d’établissement. Nouveaux profs, nouveaux amis à se faire. Vendredi soir, il été passablement énervé. Le cours de maths s’était mal passé, il critique d’entrée sa prof. Il me parle de tout un tas d’autres choses, et je sentais bien que l’émotion était à fleur de peau. Nous marchions sur un fil, un mot mal placé et je savais qu’il pouvait se bloquer et mettre fin à la discussion. Je lui réponds « Ah mince, tu n’as pas accroché avec elle ? » Mais à l’intérieur de moi j’étais presque en PLS : « Oh non, pas la prof de maths, pas déjà, pas tout de suite, pas dès la rentrée ! ».
Je l’écoute un peu, et, parasitée par mes pensées intérieures, je n’ai pas les réponses appropriées. J’y vais de mes petits commentaires de maman moralisatrice (en fait inquiète) et bien sûr, ça ne rate pas, il se froisse et part s’enfermer dans sa chambre en me disant qu’il s’en fout de toute façon des maths, parce qu’il en peut plus de cette matière et qu’il n’a pas l’intention de la bosser cette année, alors qu'on lui prenne pas la tête avec ça. 
Voilà.

 

Délire in petto, à l’intérieur de mon for-intérieur pour moi-même : « bon sang, s'il prend en grippe la prof de maths, il va faire sa tronche de six pans de long pendant les cours ou  bien il va faire le clown et distraire la classe, et là paf, la prof va lui coller une étiquette de perturbateur et va l’avoir dans le collimateur aussi, et là bim l’année est fichue, surtout s’il ne bosse pas, alors là, ça va être encore pire, il va être catalogué cas désespéré, il sera collé tous les vendredis après-midis, et il sera encore plus en colère après elle et blablabla et blablabla …. ». 

 

Ins-pire….. Ex-pire….. Ins-pire…. Ex-pire….. Ins-pire…. Ex-pire……..

 

Après ces quelques respirations, je peux réfléchir correctement. 
Sa première semaine a été intense en émotions ET en informations. Il rentre au lycée. Il change de ville, d’établissement, d’amis, de rythme puisqu’il a voulu être interne. On lui demande d’être plus autonome dans son travail et d’approfondir les cours par des recherches. On lui parle déjà d'orientation, d’options, du bac. Il y a des matières nouvelles comme SCI, STI, STL, SES (et ne me demandez pas à quoi ça correspond, je n’ai pas encore tout enregistré moi-même). Bref, connaissant mon petit, je me dis qu’avant toute chose, il doit être inquiet et légèrement dépassé. Il va lui falloir un temps de digestion et d’adaptation. Et avec lui, ça prend toujours quelques semaines. Voilà, terrain connu et familier, don't panic. Everything is going to be OK. 
Quand il sort de sa chambre, il me dit qu’il va marcher pour se calmer. Je le laisse partir, malgré mon envie de lui partager ce que j’ai pu comprendre. C’est son besoin, c’est ok. Je peux attendre. Nous reprendrons notre conversation plus tard, et je sais qu’avec mon débrief intérieur, je serais plus ouverte et plus à même d’écouter ses ressentis sans me laisser polluer par les miens. 

 

Quand on arrive à faire ce travail de dépollution, l’écoute active permet de rester attentif aux mots de nos enfants. Cette attention favorise la perception de l’émotion qui est cachée dessous et qu’il va falloir deviner. Car notre enfant va rarement nous dire : «  Et bien maman, tu vois, après cette première semaine je suis inquiet·e, j’ai peur de ne pas y arriver, j’ai l’impression d’être déjà dépassé·e, je me sens perdu·e. » 

Mais si nous restons connecté à l’histoire qu’il·elle·s déroulent, sans la détourner par nos questions ou nos propres émotions, et bien, nos enfants se sentirons écoutés, compris, en confiance, et vont tirer plus loin le fil de leur souci jusqu’à se sentir apaisés. Et après tout, c’est bien le but final, non ? Les voir apaisés, heureux·ses, autonomes dans la résolution de leurs problèmes ? C’est le mien en tout cas. 


L’écoute active, utilisée à bon escient, permet cela. Elle favorise un dialogue constructif, elle met en place une relation aidante, autant pour celui qui est écouté que pour celui qui écoute. On se sent plus fort ensemble, et avec nous-mêmes. 

Un outil puissant, je vous ai dit, vraiment puissant. 

 

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Un stage Gordon Parents Efficaces, vraiment ?

08/04/2021

Un stage Gordon Parents Efficaces, vraiment ?

En 1970, quand Thomas Gordon, psychologue américain (1918-2002), écrit Parents efficaces, les règles d’or de la communication entre parents et enfants (Éditions Marabout pour la France), il pose judicieusement la question : « les parents peuvent-ils changer leurs attitudes ? »


Fort de quelques années d’expériences depuis la mise en place en 1962 de son programme inédit de formation des parents, il peut ainsi rassurer le lecteur : oui, l’expérience de groupe, la liberté de parole et d’expression des émotions, ainsi que la mise en pratique répétée des outils de communication appris, permettent un changement profond des habitudes de langage des parents… pour autant que l’on accepte de se transformer. 


Une évolution des mentalités qui ne date pas d’hier

Déjà en 1970, nous explique Th. Gordon, fleurissaient des « groupes de développement humain, qu’il s’agisse de « "croissance personnelle", de "sensibilisation" de développement sensoriel, de groupe d’animation, de rencontres de dynamique de groupe, de formation de cadres, de réunion de couples, d’atelier de familles, et autres ». Comme quoi, le ras de marée des stages bien-être et de développement personnel en tout genre n’est pas nouveau… Et les professionnels accompagnant ces groupes de comprendre que se jouait là une transformation profonde de la pensée lorsque l’atmosphère est suffisamment accueillante et bienveillante afin que rien n’entrave la liberté d’expression des participant·es.
Ce constat confirmait ainsi le courant de la psychologie humaniste, né dans les années 40 aux États-Unis, selon laquelle la personne est capable de mobiliser ses propres forces de croissance psychologique lorsque le·a thérapeute créé une atmosphère chaleureuse et empathique, avec la confiance absolue que cette personne peut mobiliser son potentiel et faire les bons choix pour elle-même. 
Dans cette lignée, Carl Rogers (1902-1987) a formalisé le principe d’écoute active dans la relation d’aide basé sur 3 piliers : l’empathie, la congruence (authenticité) et l’accueil inconditionnel.  


Thomas Gordon s’inspirera de ce principe pour en faire un outil concret de communication efficace applicable dans les relations quotidiennes. Il constatera alors les transformations humaines au sein de son programme éducatif à destination des parents : dans un cadre ouvert et détendu, ces derniers se sentant acceptés tels qu’ils sont, se mettent à partager leurs expériences du quotidien avec une grande authenticité. Sans peur d’être jugé, les sentiments émergent et les langues se délient... pour le meilleur et sans pire, une fois n’est pas coutume, car le cadre et les valeurs du groupe ont été posés au départ : non-jugement, bienveillance, confiance, confidentialité, écoute, liberté de parole. « Les parents se rendent compte par l’expérience que des gens se préoccupent de leur bien être » continue Th. Gordon, et qu’ils partagent les mêmes galères que leur voisin ou leur voisine.
Et c’est cela qui change tout. La liberté de dire, l’écoute active de l’animateur·trice, la liberté d’expérimenter sans peur du jugement des autres, une bienveillance inconditionnelle, voici ce qui caractérise les ateliers Gordon Parents Efficaces, et voici pourquoi cela entraîne une véritable transformation de ceux qui y participent en y mettant toute leur bonne volonté.


Une mise au point éclairante sur sa propre méthode éducative.

Dans ce processus empathique, chacun peut alors faire le point sur le parent qu’il est et comprendre ce qui est efficace et ce qui ne l’est pas. En osant se confronter aux autres et en testant différentes postures (autoritaire, laxiste, démocratique), chacun peut réellement en expérimenter les conséquences émotionnelles. Cette compréhension somatique, grâce aux jeux de rôles et aux cas pratiques, permet peu à peu au parent de se connecter à ses émotions et donc de mieux comprendre et accepter en retour celles de son enfant se trouvant face à une difficulté, un chagrin ou lorsqu’un conflit éclate entre eux. 
Les parents prennent conscience de ce qui renforce la relation ou la détériore, en particulier quand survient la pré-adolescence. Ils sont donc motivés et déterminés à changer. « J’ai rarement rencontré un parent qui ne désirait pas établir une bonne relation avec ses enfants » poursuit Thomas Gordon.
 
Les parents sortant de ce programme sont d’ailleurs convaincus de l’efficacité des outils et en témoignent avec enthousiasme :
« Une bouffée d’oxygène, de réflexion et d’aide. Cela fait beaucoup de bien de lever le nez et de mettre en pratique des techniques qui produisent des effets ».

 

« Grâce à cette formation, j’ai retenu l’importance de fixer un cadre et ça me soulage ! J’ai aussi plus d’outils pour m’affirmer et avoir un rôle de médiateur entre mes enfants ».

 

« C’est une formation très enrichissante qui me permet de voir autrement les conflits que je vis avec mes enfants. J’ai pris davantage conscience de mes besoins dans les relations avec mes enfants. Une formation claire et vivante ».

 

« La méthode sans perdant est une alternative aux deux schémas éducatifs répandus que sont l’autorité par le pouvoir et le laxisme. Il en ressort une relation parent-enfant plus apaisée, plus fluide et plus heureuse ».

 

« Je ne me sens plus obligée de résoudre les problèmes de mes enfants, Gordon me donne les outils pour les aider à répondre eux-mêmes à leurs problèmes. Je ne suis pas obligée de supporter leurs attitudes, j’ai appris les outils pour les confronter tout en restant dans la bienveillance et l’écoute. Je ne suis pas obligée de renoncer à mes sentiments, mes besoins, mes valeurs grâce à la méthode de résolution des conflits ».

 

« Avec Gordon j’ai trouvé le moyen d’être la maman que je souhaitais être au quotidien. Un ensemble d’outils simples, extrêmement efficaces, pour vivre en harmonie avec les autres mais aussi avec soi-même ».

 

Un changement pour tous ?

Il est évident que l’on ne change pas malgré soi. Il faut d’abord reconnaître que quelque chose dysfonctionne dans ses relations avec les autres avant de décider d’y remédier. Il faut avoir envie de vivre des relations plus apaisées avec ses enfants et être conscient que, nous les parents, nous sommes aussi responsables par nos comportements des conflits récurrents et des tensions qui s’accumulent. Et malgré cette bonne volonté, il peut exister de fortes résistances à faire évoluer son modèle éducatif. Car celui que l’on a reçu en héritage peut être coriace. Thomas Gordon constate que pour certains parents « renoncer à un système de valeurs fondé sur la domination et la contrainte par l’autorité hérité de leurs parents » est difficile. Cependant le cadre bienveillant et non-contraignant de cette formation permet de réfléchir à ce système de valeurs, d’en écouter de différents qui peuvent fonctionner, de s’ouvrir à d’autres pistes pour trouver l’aide qui nous correspondra le mieux au moment où l’on en est sur son chemin de parent. 


« Il semble bien que notre programme permet d’approfondir la connaissance de soi » poursuit Th. Gordon. D’autant qu’à sa suite, un suivi des parents est parfois proposé par le·la formateur·trice et permet de travailler en profondeur à « résoudre les problèmes qui empêchent les parents d’employer efficacement les nouvelles méthodes qu’ils ont apprises ». De plus, l’association Les Ateliers Gordon, qui oeuvre en France à la diffusion et la transmission de cette approche, propose à présent des ateliers de pratique en jeux de rôle pour les parents ayant suivis un niveau 1 Parents Efficaces. De quoi renforcer durablement ses compétences et ses nouvelles habilités de communication. 


Quelques que soient les progrès et les évolutions de chaque parent, le processus de changement est de toute façon enclenché et chacun ira à son rythme dans le respect de ses possibilités. 

Et Thomas Gordon de conclure : « nos expériences nous apprennent que pour devenir plus efficaces dans l’éducation d’enfants responsables nous devons fournir un travail attentif et assidu (…). Mais, après tout, quelle tâche ne requiert pas de travail ? »
 
Bérengère Leydier
Accompagnante en parentalité, formatrice en efficacité relationnelle Approche Gordon (en cours d’accréditation).

 

Prochain atelier Parents Efficaces près d’ Avignon: 
Septembre 2021, dates à venir.


www.heureuxenfamille.fr 

Pour aller plus loin et trouver des ateliers partout en France :
www.lesateliersgordon.org

 

Crédit photo : Daniel Cheung - Unsplash

Éducation et parentalité : halte à la culpabilité !

08/04/2021

Éducation et parentalité : halte à la culpabilité !

Etre parent c’est difficile, impossible disait Freud ! À la lumière des neurosciences affectives, on sait aujourd’hui qu’une éducation bienveillante est essentielle à la bonne maturité du cerveau. Le contraire étant vrai aussi, le parent joue un rôle primordial sur le sain développement de sa progéniture. Comment ne pas culpabiliser de nos erreurs dans ces conditions ? Quand on sait que, selon l’Unicef, 90 à 95% des parents dans le monde punissent leurs enfants en ayant recours à des paroles humiliantes et à des gestes mal-traitant, on se sent tout de suite moins seul mais on réalise aussi qu’il est grand temps d’agir autrement.

L’éducation empathique, une alternative ?
Plébiscitée par certains, elle est aussi critiquée, accusée de fabriquer des enfants tyrans qui ne seront pas armés pour affronter la dure réalité de ce monde. Or c’est tout le contraire. Cette éducation alternative (ni autoritaire, ni laxiste) permet de s’affirmer efficacement tout en posant le cadre d’une discipline juste, selon des règles qui font sens pour le parent. Sans chercher à nier ses propres besoins, il sait reconnaître ceux de ses enfants, et se place en tant que médiateur pour gérer les conflits où chacun se sentira respecté et compris. Les enfants ainsi élevés, développent une auto-discipline et un sens de la coopération qui surprend. Ils sont confiants dans leurs capacités et plus autonomes et respectueux des autres. 

Être parent, ça s’apprend !
Des erreurs, on en fait tous. Le reconnaître est déjà beaucoup, changer est encore mieux. Être accompagné dans cette transformation peut-être nécessaire, car se remettre en cause en tant que parent demande d’interroger l’héritage familial, parfois lourd à porter. 
Après un processus de résilience grâce à un parcours artistique et un travail thérapeutique, Bérengère Leydier, s’est formée en parentalité positive et en Efficacité Relationnelle selon la Méthode Gordon©. En entretien individuel ou en groupe, les parents pourront faire le point sur leur pratique éducative, réfléchir à la notion d’autorité et aux valeurs qu’ils veulent transmettre, comprendre ce qui bloque ou favorise la communication. Des outils seront proposés comme l’écoute active pour soulager les débordements émotionnels, identifier les problèmes et les besoins de chacun ; les messages-Je pour se révéler avec authenticité, ceux de confrontation pour poser des limites claires ou encore la résolution de conflits sans perdant pour préserver les relations. 

 

Pour en savoir plus : 
www.heureuxenfamille.fr
www.lesateliersgordon.org
Pour prendre rdv avec Bérengère Leydier : 
contact@heureuxenfamille.fr
06 09 18 51 90

Formatrice Gordon Ateliers Parents Niveau 1 en cours d’accréditation.

 

Publié dans Pluriel Nature, Automne 2020. Directeur de publication René Pelisson.